Un programme réussi commence par une cartographie des parties prenantes
La plupart des programmes d'événements commencent par une liste de conférenciers, des panels et des pauses-café. Mais avant que tout cela ne soit défini, une étape cruciale consiste à définir les personnes que nous voulons atteindre. Le qui passe avant le comment.
À haca.studio, nous voyons l'ordre du jour comme un parcours stratégique. Un outil qui guide les participants à travers leurs idées, leurs émotions et leurs interactions. Pour bien le concevoir, on commence par cartographie des parties prenantes: qui ils sont, ce à quoi ils s'attendent, quelle influence ils ont et ce dont ils ont besoin de l'événement pour penser que cela en valait la peine.
La cartographie des parties prenantes peut sembler être une étape technique, mais c'est en fait une étape créative. Il vous aide à équilibrer les priorités, à aligner les messages et à révéler quels engagements sont réellement importants lorsque vous réunissez des institutions, des partenaires et des publics qui partagent rarement la même salle.
Cette approche redéfinit également ce que signifie « réussir ». Un événement remarquable se déroule à l'heure et remplit la salle. Mais surtout, un événement fait toute la différence lorsqu'il pertinence, objectif et un clair valeur ajoutée aux participants.
Nous avons utilisé cet état d'esprit pour repenser la formule de l'événement, en abandonnant les formats de panel prévisibles au profit d'expériences qui s'adaptent aux personnes présentes dans la salle. C'est aussi ce qui garantit visibilité à Bruxelles — non pas par une image de marque plus forte, mais par le biais de programmes qui sont liés de manière significative aux discussions politiques et aux besoins de la communauté.
Que nous soutenions Événements de lancement des politiques de l'UE Qu'il s'agisse de concevoir des moments d'échange entre les secteurs, la cartographie des parties prenantes ancre chaque décision. Même les plus petits éléments, du flux de l'ordre du jour au des cadeaux significatifs, gagnent en cohérence lorsqu'ils répondent à des attentes cartographiées et à des objectifs communs.
Parce qu'au final, un ordre du jour n'est jamais une simple liste de sessions. C'est le reflet des relations. Et ce sont ces relations qui font fonctionner les événements.
Conclusion
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